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Tracé définitif de la page 7 |
Le récit de la mère constitue l'essentiel de cette page
Entonnons gaiement notre sérénade post-mortem.
En complément de l'esquisse, je vais développer deux détails supplémentaires :
notons les effets suivants pour renforcer la portée sordide de ce qui est relaté :
En revanche, j'ai évité, même si la tentation était forte, de replacer la question étrangère dans le récit
de l'accident ("ce sont des gens").
Sinon, trop c'est trop et la plaisanterie devient discriminante.
Et ce n'est alors pas bien.
Ici encore, il y a matière à reconnaître les sens des orientations gauche/droite :
* La deuxième case montre la mère se déplaçant vers la gauche [passé] / à la rencontre du vieillard qui braille depuis la
fin de la page 6.
* Suit une rotation vers la droite [développement] qui va permettre l'avancement du récit.
Cet "avancement" réside en l'occurrence en la présentation du deuil de Mehdi et de la révélation de ce que
le fait divers aura été monté en épingle.
Vous l'avez reconnu ? :o))
Il sort du commissariat. Un comble ?! Pourtant, le tag "Anars en fuite" dit tout - en plus de la provocation totale
qui consiste à taguer un commissariat en narguant ainsi son utilité.
Et pour souligner cette inutilité, on relèvera un nouveau contraste,
à savoir celui entre la décontraction du violeur devant le
commissariat, et combien ses mains sont pourtant sales.
L'image suivante met l'inspecteur de police "physiquement" tout contre le violeur.
Nul doute alors que ce dernier et le "petit vaurien" ne font qu'un !
Sur cette image, un peu réduite pour économiser des octets, on distingue mal que l'inspecteur
tient dans sa main des billets de banque.
La même page,
mais en couleurs cette fois (173 Ko)